Le partage, et le bonheur qu’il procure

« On ne jouit bien que de ce qe l’on partage.
Madame de Genlis »

Les fêtes de fin d’année sont souvent des moments de partage. Les familles, parfois séparées durant le reste de l’année, se retrouvent pour partager un repas, des souvenirs, ou simplement de bons moments. 

C’est également une période que nous pourrions utiliser pour faire un bilan de l’année écoulée. Un bilan sur ce que nous sommes, ou que nous aimerions être.

D’envisager un présent, avec un partage plus important, où chacun donne ce qu’il peut donner, sous quelque forme que ce soit, pour génère plus de bonheur et d’amour.

Pensez-y et soyez l’instigateur du changement positif.

J’aimerais faire mieux, pourquoi je n’y parviens pas ?

« Parfois nous sommes dans une spirale qui nous retient, et nous détourne de nos bonnes intentions »

A quoi cela tient-il ?

C’est souvent le manque d’organisation qui nous empêche de faire les choses de manière efficace. Mais également le fait que nous restons peu focalisés sur les tâches en cours.

Un bon exemple est l’activité sur l’Internet. Nous partons dans l’idée de rechercher des informations sur un sujet précis et, après quelques minutes, finissions partout saufs sur le sujet en question. Avec les tâches, c’est souvent le même problème. Nous commençons par travailler sur la tâche prioritaire, avant de nous laisser emporter par l’arrivée de nouveaux mails, des appels téléphoniques ou autres (trop) nombreux « voleurs » de temps. 

Si certaines interruptions sont inévitables, d’autres pourraient facilement être repoussées. Pour y parvenir, nous devons garder à l’esprit que seul un « droit au but », à l’image d’un sprinteur de 100 mètres, peut nous amener au bout de notre chemin.

Soyez acteur, au lieu d’être assis dans le rang des spectateurs

Dégagez plus de temps en étant plus organisé

  • Planifiez de manière simple, mais efficace, en évitant de surcharger le plan de travail (le meilleur moyen est de faire une évaluation du temps assez large)
  • Utilisez la méthode de Dwight D. Eisenhower, qui permet de prioriser les tâches
  • Si vous avez besoin d’une certaine liberté, comme c’est mon cas, évitez de fixer (sauf si une tâche est plus importante et urgent, que les autres) un ordre précis
  • Lorsque vous commencez une tâche, terminez la complètement avant d’en entreprendre une nouvelle
  • Lorsque vous avez terminé votre plan de travail, récompensez-vous vous le méritez 

Commencez dès maintenant, évaluez, planifiez, et menez à terme vos tâches. En ce faisant, vous serez rapidement dans la cours des grands de l’organisation, et des personnes avec qui il fait bon travailler.

Pour progresser, rêvez !

« Si vous vous autorisez à rêver votre avenir, savez-vous à quoi il pourrait ressembler ? »

Un excellent exercice pour trouver ses limites

Cela ne signifie nullement qu’il s’agit uniquement de limites que nous nous sommes employés à mettre en place personnellement. Il peut également s’agir de limites que les personnes « bienveillantes » (parents, famille, amis, professeurs, etc.), nous ont fait admettre durant notre vie. Ce que nous faisons ensuite, c’est de les entretenir.

Le but est d’outrepasser les idées reçues, ou gardées, qui sont devenus des paradigmes, ou pire, qui se sont muées en dogmes. 

Démarche possible

  • Prenez une feuille de papier, et transcrivez votre ou vos rêves (comment vous mèneriez votre vie, si vous pouviez faire tout ce que vous vouliez). Ajoutez le plus de détails possibles (lieux, choses, couleurs, odeurs, etc.)
  • Relisez ce que vous avez écrit
  • Faites des corrections, si nécessaire
  • Prenez ensuite une deuxième feuille de papier, et faites deux colonnes
  • Dans la partie gauche, inscrivez un rêve
  • Dans la partie droite, inscrivez tout ce qui vous retient (je suis trop ou pas assez de ci ou de cela, je n’ai pas ceci ou cela, etc.)
  • Répétez la même opération pour chaque rêve (si vous en avez plusieurs, ce que je vous souhaite)
  • Lorsque vous avez terminé, réfléchissez à la situation globale et d’où viennent les « casseurs » de rêves. C’est des limites que vous vous êtes fixées, ou viennent t’elles d’ailleurs ?
  • Faites des notes dans la colonne de droite
  • Reprenez cette/ces feuille(s) le lendemain, et les jours suivants

En procédant de la manière, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour trouver ce qui vous empêche de faire un pas de plus et d’aller plus loin dans votre vie.

Faites-vous PLUS confiance, et autorisez-vous à rêver grand, car, finalement il en va de votre bien-être et de votre vie.

Je maîtrise le sujet, et pourtant j'échoue !

« Vous expliquez d’A – Z le service ou le produit. Usez de tous les arguments possibles et imaginables. Pour entendre finalement un NON, qui semble... définitif ! »

Que s’est-il passé ?

La première chose qui traverse souvent notre esprit : j’ai échoué, je suis déçu de moi, ou quelque chose de similaire.

Pour y voir plus clair, quelques questions que nous pourrions nous poser

  1. N’ai-je pas su reconnaître les besoins ?
  2. Ai-je posé les bonnes questions ?
  3. Avait-il/elle/eux vraiment besoin de ce que je proposais ?
  4. Ai-je demandé s'il restait des questions ?
  5. Ai-je demandée une signature pour terminer ?

Il y en a d’autres, c’est certain, or c’est assurément un ou plusieurs de ces cinq points qui nous font régulièrement échouer.

Et vous, comment se passent vos entretiens ?

Pour l’avoir vécu à de très nombreuses reprises, avec des commerciaux que j’accompagnais, c’est le dernier point qui pose souvent problème. Lorsque tout est dit et que le client attend qu’une chose : conclure, ils repartent dans des explications supplémentaires et inutiles, qui font que le/les vis-à-vis se demandent si c’est finalement une bonne idée.

Cela semble incroyable, et pourtant !

Dans notre vie personnelle ou/et professionnelle, nous sommes en permanence dans une démarche d’achat/vente et de négociation. Vu que chaque entretien est différent, il est difficile de donner une recette unique.

Ce qui semble immuable et compte vraiment, c'est

  • L’écoute active (ce qui sous-entend que vous entendez ce qui est dit)
  • Poser des questions, dès le début de l’entretien (cela va éviter les fausses pistes)
  • Oser demander, par exemple, la signature, même si la réponse pourrait être non
  • Oser donner quelque chose de réel, à votre vis-à-vis, ce qui augmente la confiance et vous approche de la/les personne-s présentes
  • Savoir dire merci, quel que soit le résultat, car même un non peut devenir positif par la suite
« Soyez vous-même. Restez ouverts d’esprit et honnête. Posez des questions et soyez à l’écoute de votre interlocuteur. »

En suivant ces quelques conseils, cela devrait vous soutenir à obtenir de meilleurs résultats. 

Je vous encourage à avoir confiance en vous, et de prendre les risques nécessaires pour réussir vos démarches qui ont peut-être échoué jusqu’à ce jour.

Osez, c’est le seul moyen d’y parvenir, et voyez chaque échec comme une opportunité de progression, même si c’est difficile.

Plus efficace et moins stressé

« Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent rarement important. -Dwight D. Eisenhower »

Je ne sais pas par où et avec quoi commencer…

C’est le genre de phrase qui montre tout le dépit que ce sujet peut provoquer.

Il existe de nombreuses méthodes, pour appréhender ce problème. Si je devais en garder qu’une, ce serait certainement celle de l’ancien président Dwight D. Eisenhower.

Simple à comprendre, et à mettre en œuvre, elle nous permet de rapidement améliorer notre situation de stress et gagner plus de confort dans nos activités journalières. Seule condition, s’en servir le plus souvent possible.

La méthode nous apprend à faire la différence entre l’important et l’urgent. Elle devrait également nous animer à commencer le travail dès que les priorités sont définies.

Principe

  1. Récolter toutes les tâches qui nous sont confiées ou qui nous incombent
  2. Donner une priorité d’A – D et faire ou déléguer (lorsque, c’est possible) les tâches en question

Matrice

Situation

Nous avons tendance à nous focaliser sur les tâches "A". Si nous sommes le plus souvent dans cette case, c’est qu’il y a un problème. Soit trop de travail, soit une mauvaise organisation. Vous l’aurez compris, l’idéale serait de se trouver le plus souvent dans la case "B".  Pour y arriver, la meilleure manière est de planifier et de savoir dire non lorsque c’est nécessaire. Un autre moyen, abandonner les tâches "D" lorsque c'est possible.

Constat

Nous (il y a des exceptions…) avons également tendance à nous trouver (trop) régulièrement dans la case "D". La raison ? C'est souvent des tâches agréables, qui nous permettent de repousser les tâches "A" et "B". C’est ce qui provoque finalement que les tâches "B" deviennent des tâches "A". 

Dans quelle case êtes-vous le plus souvent ?

Motivation

Un très bon moyen est de faire une liste journalière, en fonction de la matrice, et de biffer chaque tâche terminée. Cela semble être futile, ce qui n'est nullement le cas. En fin de journée, dans le cas idéal, vous avez une liste ou toutes les tâches sont biffées, quel bonheur ! 

Ceci va vous donner une occasion de vous féliciter et de fêter votre réussite. Cette démarche, très importante, à en plus un effet antistress significatif. 

Vous avez à présent les outils nécessaires pour améliorer votre quotidien, utilisez-les.

Bon travail !