Développement personnel

Pour progresser, rêvez !

« Si vous vous autorisez à rêver votre avenir, savez-vous à quoi il pourrait ressembler ? »

Un excellent exercice pour trouver ses limites

Cela ne signifie nullement qu’il s’agit uniquement de limites que nous nous sommes employés à mettre en place personnellement. Il peut également s’agir de limites que les personnes « bienveillantes » (parents, famille, amis, professeurs, etc.), nous ont fait admettre durant notre vie. Ce que nous faisons ensuite, c’est de les entretenir.

Le but est d’outrepasser les idées reçues, ou gardées, qui sont devenus des paradigmes, ou pire, qui se sont muées en dogmes. 

Démarche possible

  • Prenez une feuille de papier, et transcrivez votre ou vos rêves (comment vous mèneriez votre vie, si vous pouviez faire tout ce que vous vouliez). Ajoutez le plus de détails possibles (lieux, choses, couleurs, odeurs, etc.)
  • Relisez ce que vous avez écrit
  • Faites des corrections, si nécessaire
  • Prenez ensuite une deuxième feuille de papier, et faites deux colonnes
  • Dans la partie gauche, inscrivez un rêve
  • Dans la partie droite, inscrivez tout ce qui vous retient (je suis trop ou pas assez de ci ou de cela, je n’ai pas ceci ou cela, etc.)
  • Répétez la même opération pour chaque rêve (si vous en avez plusieurs, ce que je vous souhaite)
  • Lorsque vous avez terminé, réfléchissez à la situation globale et d’où viennent les « casseurs » de rêves. C’est des limites que vous vous êtes fixées, ou viennent t’elles d’ailleurs ?
  • Faites des notes dans la colonne de droite
  • Reprenez cette/ces feuille(s) le lendemain, et les jours suivants

En procédant de la manière, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour trouver ce qui vous empêche de faire un pas de plus et d’aller plus loin dans votre vie.

Faites-vous PLUS confiance, et autorisez-vous à rêver grand, car, finalement il en va de votre bien-être et de votre vie.

Je maîtrise le sujet, et pourtant j'échoue !

« Vous expliquez d’A – Z le service ou le produit. Usez de tous les arguments possibles et imaginables. Pour entendre finalement un NON, qui semble... définitif ! »

Que s’est-il passé ?

La première chose qui traverse souvent notre esprit : j’ai échoué, je suis déçu de moi, ou quelque chose de similaire.

Pour y voir plus clair, quelques questions que nous pourrions nous poser

  1. N’ai-je pas su reconnaître les besoins ?
  2. Ai-je posé les bonnes questions ?
  3. Avait-il/elle/eux vraiment besoin de ce que je proposais ?
  4. Ai-je demandé s'il restait des questions ?
  5. Ai-je demandée une signature pour terminer ?

Il y en a d’autres, c’est certain, or c’est assurément un ou plusieurs de ces cinq points qui nous font régulièrement échouer.

Et vous, comment se passent vos entretiens ?

Pour l’avoir vécu à de très nombreuses reprises, avec des commerciaux que j’accompagnais, c’est le dernier point qui pose souvent problème. Lorsque tout est dit et que le client attend qu’une chose : conclure, ils repartent dans des explications supplémentaires et inutiles, qui font que le/les vis-à-vis se demandent si c’est finalement une bonne idée.

Cela semble incroyable, et pourtant !

Dans notre vie personnelle ou/et professionnelle, nous sommes en permanence dans une démarche d’achat/vente et de négociation. Vu que chaque entretien est différent, il est difficile de donner une recette unique.

Ce qui semble immuable et compte vraiment, c'est

  • L’écoute active (ce qui sous-entend que vous entendez ce qui est dit)
  • Poser des questions, dès le début de l’entretien (cela va éviter les fausses pistes)
  • Oser demander, par exemple, la signature, même si la réponse pourrait être non
  • Oser donner quelque chose de réel, à votre vis-à-vis, ce qui augmente la confiance et vous approche de la/les personne-s présentes
  • Savoir dire merci, quel que soit le résultat, car même un non peut devenir positif par la suite
« Soyez vous-même. Restez ouverts d’esprit et honnête. Posez des questions et soyez à l’écoute de votre interlocuteur. »

En suivant ces quelques conseils, cela devrait vous soutenir à obtenir de meilleurs résultats. 

Je vous encourage à avoir confiance en vous, et de prendre les risques nécessaires pour réussir vos démarches qui ont peut-être échoué jusqu’à ce jour.

Osez, c’est le seul moyen d’y parvenir, et voyez chaque échec comme une opportunité de progression, même si c’est difficile.

L’homme de Cro-Magnon

« Comment puis-je reconnaître si je fais également parti des êtres qui se complaisent dans les affrontements à la « testostérone » ?  »

Ce que nous savons, en l’absence de conflits et problèmes, s’évanouit souvent comme un mirage, lorsque nous en aurions le plus besoin. Dans ces moments nous redevenons, en quelque sorte, l’homme de Cro-Magnon, qui pense qu’il doit lutter pour sa survie. 

C’est étonnant, oui, ça l'est en effet !

La seule chose que nous pouvons faire, c'est de prendre du recul lorsqu’une telle situation se présente. D’agir avec moins d’impulsivité, et de garder le contrôle sur nos ressentis et nos paroles. 

C’est plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous.

C'est certain, or, il faut bien commencer avec un premier pas pour devenir un champion.

Il y a des signes précurseurs, comme la moutarde qui nous monte au nez, si je puis dire. Ce signe, nous devrions le prendre au sérieux et agir en conséquence. 

Chez certains c'est le sang qui monte à la tête, ce qui provoque une chaleur intense immédiate. Chez d’autres, c’est l’estomac qui se noue, ou encore les jambes qui semblent se dérober. Voyez comment vous réagissez, vous trouverez rapidement les signes annonciateurs chez vous.

L’objectif étant de gérer de mieux en mieux ces situations, qui laissent souvent des traces indélébiles chez vous et les autres, par la suite.

Pensez-y, votre bien-être, et celui de votre entourage, est en jeu.

La responsabilité

« Être responsable, dans toutes les situations de la vie, devrait faire partie de nos acquis de base. »

Je n’y suis pour rien...

Cela vous dit quelque chose ?

Souvent dit, ou entendu, c’est une manière comme une autre, de ne pas prendre ses responsabilités. La résultante est souvent un déplacement du problème, au lieu de la résolution.

De penser que nous devons chercher la responsabilité chez l’autre, avant de nous mettre en question, est un mal bien ancré dans la société. Nous préférons largement la gloire d’un succès, que la responsabilité d’un projet qui tourne moins bien. 

Nous pourrions nous poser la question, pourquoi il en est ainsi.

Il est certain qu’il est plus agréable d’avoir des succès à son actif, plutôt que des échecs.

Si nous posons la question à une équipe pour savoir ce qu’ils apprécient le plus chez un autre membre de l’équipe, ce sont très régulièrement les mots : qui prend ses responsabilités, qui font surface. En d’autres termes, qui es capable d’admettre une erreur, ou avoir été à l’origine d’une mauvaise décision, qui a mené à l’échec.

Le leadership c’est également et surtout cela. Savoir admettre que chaque personne a droit à l’erreur. Et que c’est une force de les admettre et de faire face à ses responsabilités, même si c’est désagréable.

Dans un monde où l’ego est encore (trop) souvent le maître des lieux, penser et pratiquer un changement dans ce domaine est à assimiler à un challenge pour beaucoup d’entre nous. 

Le fait de prendre conscience de cet état de fait, est déjà un grand pas dans la bonne direction. Il va nous permettre de voir les choses avec une autre vision, des idées plus claires et la capacité à analyser nos actes. L’objectif étant de changer nos paradigmes, et d’être plus pragmatique dans les situations qui l’exigent.

Rien, non, rien n’est parfait... mais, finalement, est-ce nécessaire ? 

C’est une question à laquelle j’ai fini par répondre, heureusement. 

Même si j’attache beaucoup d’importance aux choses bien faites, j’ai appris qu’il valait mieux, pour moi et les autres personnes autour de moi, que je me contente de faire le mieux possible.

Et vous, comment abordez-vous ce sujet aujourd’hui ?

Sommes-nous faits pour être des leaders ?

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C’est une question légitime

Chacun de nous peut être un leader, dans un domaine ou un autre. Il suffit souvent de très peu de choses pour que nous en prenions conscience.

 Jonathan, a décidé de le faire !

L’histoire de Jonathan Livingston le goéland

semble avoir de nombreuses similitudes avec notre vie, et peut vous donner quelques idées sur le sujet. Même s'il s'agit d'un goéland, il reproduit exactement ce qu'un vrai leader ferait.

Une histoire... en est-ce vraiment une ?


Le Leadership de Jonathan Livingston le goéland - Created with Haiku Deck, presentation software that inspires

Comment avez-vous ressenti le scénario ? 

Pour ma part, il y a un certain vécu qui se dessine dans ce qui est arrivé à Jonathan Livingston. J'ai l'impression d'être propulsé dans mon passé lointain, et également plus proche... Certes, ce fut moins tragique, sur le fond, les ressemblances sont cependant étonnamment grandes. 

Vu sous cet angle, il m'apparaît donc clairement que d’être un leader peut parfois être assimilé à un véritable challenge, vu que (presque) tout est fait pour nous empêcher de l'être. 

Peut-être qu’il s’agit de bienveillance, lorsque certains proches ou "amis" tentent de nous faire comprendre que nous devrions rester à la place qui nous est dédiée dans le groupe… !

Peut-être... !

Que faire ? Être un leader, ou un suiveur qui reste dans la "normalité" ?

A vous d'en faire le choix !

Quel qu’il soit, il sera accompagné de son lot de surprises.

Quelles expériences vivez-vous, ou avez-vous vécus ? Vos commentaires sont les bienvenus.

Plus de temps à consacrer au sujet

Un film de Hall Bartlett, adapté du roman de Richard Bach : « Jonathan Livingston Seagull, publié en 1970 aux États-Unis et en 1973 en France, et toujours très actuel.