Leadership

Comment transmettre mon savoir ?

« On ne peut rien apprendre aux gens, on peut seulement les aider à découvrir qu’ils possèdent en eux tout ce qui est à apprendre. -Galilée »

Partager, c’est exister !

Même s’il est vrai que le partage peut parfois être compliqué, surtout avec des personnes qui semblent – c’est du moins ce qu’ils prétendent – déjà tout savoir. Dans ce cas de figure, nous pourrions également nous demander s’il est absolument nécessaire de le faire. Mais voilà, lorsqu’il s’agit de vos proches, de collaborateurs ou collègues de travail, il est souvent nécessaire de trouver des solutions acceptables pour tous.

Oui, vous vous en doutez certainement déjà, il est important de savoir communiquer dans notre société.

Demandez, restez humble

Vu que le but primaire devrait être de rendre votre vis-à-vis autonome, il convient de garder à l’esprit que cela est uniquement possible si vous donnez tout ce dont vous disposez. La rétention d’information, ou l’investissement (à charge de revanche) est à proscrire.

Servez-vous des réflexions suivantes 

  • Posez-vous la question, comment vous pourriez soutenir au mieux la personne
  • Demandez avant de donner votre point de vue, peut-être que la personne le juge peu utile. 
  • "C’est le résultat final qui compte, bien plus que le chemin qui y mène" - pour autant que ce soit par un moyen honnête et acceptable, bien sûr
  • Envisagez la possibilité que vos suggestions peuvent être erronées ou inutiles
  • Annoncez clairement que votre conseil est uniquement un autre point de vue ou chemin possible à lui de décider si la proposition apporte un avantage
  • Restez humble, lors de vos échanges 
  • Traitez l’autre personne d’égal à égal, le savoir ne donne aucun droit supplémentaire
  • Si votre message manque le but, remettez-vous et votre manière de communiquer en question
  • Demandez à une personne proche, ce qu’elle pense de votre manière d’être et de communiquer. Cela suppose une acceptation à d’éventuelles critiques

Ajoutez-y les vôtres et mettez en pratique, c’est un très bon moyen pour progresser dans votre vie et également pour faire progresser les personnes de votre entourage.

Vous serez peut-être surpris du changement ! 

Vos commentaires et réflexions sont les bienvenus, et nous font également progresser.

Merci !

La responsabilité

« Être responsable, dans toutes les situations de la vie, devrait faire partie de nos acquis de base. »

Je n’y suis pour rien...

Cela vous dit quelque chose ?

Souvent dit, ou entendu, c’est une manière comme une autre, de ne pas prendre ses responsabilités. La résultante est souvent un déplacement du problème, au lieu de la résolution.

De penser que nous devons chercher la responsabilité chez l’autre, avant de nous mettre en question, est un mal bien ancré dans la société. Nous préférons largement la gloire d’un succès, que la responsabilité d’un projet qui tourne moins bien. 

Nous pourrions nous poser la question, pourquoi il en est ainsi.

Il est certain qu’il est plus agréable d’avoir des succès à son actif, plutôt que des échecs.

Si nous posons la question à une équipe pour savoir ce qu’ils apprécient le plus chez un autre membre de l’équipe, ce sont très régulièrement les mots : qui prend ses responsabilités, qui font surface. En d’autres termes, qui es capable d’admettre une erreur, ou avoir été à l’origine d’une mauvaise décision, qui a mené à l’échec.

Le leadership c’est également et surtout cela. Savoir admettre que chaque personne a droit à l’erreur. Et que c’est une force de les admettre et de faire face à ses responsabilités, même si c’est désagréable.

Dans un monde où l’ego est encore (trop) souvent le maître des lieux, penser et pratiquer un changement dans ce domaine est à assimiler à un challenge pour beaucoup d’entre nous. 

Le fait de prendre conscience de cet état de fait, est déjà un grand pas dans la bonne direction. Il va nous permettre de voir les choses avec une autre vision, des idées plus claires et la capacité à analyser nos actes. L’objectif étant de changer nos paradigmes, et d’être plus pragmatique dans les situations qui l’exigent.

Rien, non, rien n’est parfait... mais, finalement, est-ce nécessaire ? 

C’est une question à laquelle j’ai fini par répondre, heureusement. 

Même si j’attache beaucoup d’importance aux choses bien faites, j’ai appris qu’il valait mieux, pour moi et les autres personnes autour de moi, que je me contente de faire le mieux possible.

Et vous, comment abordez-vous ce sujet aujourd’hui ?

Sommes-nous faits pour être des leaders ?

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C’est une question légitime

Chacun de nous peut être un leader, dans un domaine ou un autre. Il suffit souvent de très peu de choses pour que nous en prenions conscience.

 Jonathan, a décidé de le faire !

L’histoire de Jonathan Livingston le goéland

semble avoir de nombreuses similitudes avec notre vie, et peut vous donner quelques idées sur le sujet. Même s'il s'agit d'un goéland, il reproduit exactement ce qu'un vrai leader ferait.

Une histoire... en est-ce vraiment une ?


Le Leadership de Jonathan Livingston le goéland - Created with Haiku Deck, presentation software that inspires

Comment avez-vous ressenti le scénario ? 

Pour ma part, il y a un certain vécu qui se dessine dans ce qui est arrivé à Jonathan Livingston. J'ai l'impression d'être propulsé dans mon passé lointain, et également plus proche... Certes, ce fut moins tragique, sur le fond, les ressemblances sont cependant étonnamment grandes. 

Vu sous cet angle, il m'apparaît donc clairement que d’être un leader peut parfois être assimilé à un véritable challenge, vu que (presque) tout est fait pour nous empêcher de l'être. 

Peut-être qu’il s’agit de bienveillance, lorsque certains proches ou "amis" tentent de nous faire comprendre que nous devrions rester à la place qui nous est dédiée dans le groupe… !

Peut-être... !

Que faire ? Être un leader, ou un suiveur qui reste dans la "normalité" ?

A vous d'en faire le choix !

Quel qu’il soit, il sera accompagné de son lot de surprises.

Quelles expériences vivez-vous, ou avez-vous vécus ? Vos commentaires sont les bienvenus.

Plus de temps à consacrer au sujet

Un film de Hall Bartlett, adapté du roman de Richard Bach : « Jonathan Livingston Seagull, publié en 1970 aux États-Unis et en 1973 en France, et toujours très actuel.

L'action

Seule l’action peut faire devenir une idée réalité. Nous le savons ! C’est d’autant plus surprenant, que nous restons malgré tout (trop) souvent immobiles.

J’aimerais y arriver…

À QUOI ?

À avoir des idées ? Ou les mettre en pratique, et ainsi avoir une chance de succès ?

Vous me direz qu’il faut d’abord avoir une idée, avant de pouvoir faire quelque chose. C’est vrai ! Or, des idées, le monde en regorge. Par contre, des personnes qui mettent les idées en actes, c’est nettement plus rare.

C’est quoi qui nous retient de passer à l’action, jusqu’à… 

Crédit image : Jilid-Kesatu

Crédit image : Jilid-Kesatu

...manquer le train?

Plusieurs choses peuvent être le déclencheur de… l’inaction. 

Le fait que nous doutions de nous, en est une. 

Ce qui est encore plus régulièrement le cas, c’est notre entourage qui nous fait douter dans le final. Alors que nous avions un projet intéressant, et que nous voulions le mettre en pratique, voilà que notre entourage commence à le démolir. Ils vous le diront, c’est pour ton bien, tu es un doux rêveur et cela ne fonctionnera jamais.

Dans ces moments, il faut plus que de la confiance pour continuer à croire à l’idée. Car dans toute idée, il y a quelques doutes qui peuvent s’installer dans l’esprit surtout s’il s’agit d’une idée novatrice. 

Pour vraiment nous mettre en route, il faut avoir la foi que nous pouvons y arriver. Cette foi (aveugle), sera notre meilleure alliée le temps que les choses prennent forme. 

Dans cette phase de démarrage, il faudra également du courage pour avancer sans relâche sur le chemin parfois jonché d’obstacles.

Seule la détermination dans l’action, et la croyance en vous et en vos actions, peuvent vous amener vers des buts élevés et le succès dans vos projets. Cela est vrai pour tous les projets de vie, que ce soit dans le secteur privé, professionnel ou social, d’une certaine ampleur. Cette affirmation se vérifie d’ailleurs chaque jour pour nous et notre entourage.

La formule très populaire qui dit : pour chaque action il faut un premier pas, semble tellement évidente, pourtant, nous nous laissons régulièrement dépasser par l’ampleur de la tâche qui nous semble insurmontable. 

Vue sur l’ensemble d’un projet, cette sensation peut se justifier. Or, si nous voyons plutôt les petits pas, qui peuvent nous amener au but, les choses peuvent s’avérer être bien plus aisées par la suite… 

Essayer, c’est l’adopter !

Pour le vérifier, il y a qu’une chose : passer à l’action !