Comment transmettre mon savoir ?

« On ne peut rien apprendre aux gens, on peut seulement les aider à découvrir qu’ils possèdent en eux tout ce qui est à apprendre. -Galilée »

Partager, c’est exister !

Même s’il est vrai que le partage peut parfois être compliqué, surtout avec des personnes qui semblent – c’est du moins ce qu’ils prétendent – déjà tout savoir. Dans ce cas de figure, nous pourrions également nous demander s’il est absolument nécessaire de le faire. Mais voilà, lorsqu’il s’agit de vos proches, de collaborateurs ou collègues de travail, il est souvent nécessaire de trouver des solutions acceptables pour tous.

Oui, vous vous en doutez certainement déjà, il est important de savoir communiquer dans notre société.

Demandez, restez humble

Vu que le but primaire devrait être de rendre votre vis-à-vis autonome, il convient de garder à l’esprit que cela est uniquement possible si vous donnez tout ce dont vous disposez. La rétention d’information, ou l’investissement (à charge de revanche) est à proscrire.

Servez-vous des réflexions suivantes 

  • Posez-vous la question, comment vous pourriez soutenir au mieux la personne
  • Demandez avant de donner votre point de vue, peut-être que la personne le juge peu utile. 
  • "C’est le résultat final qui compte, bien plus que le chemin qui y mène" - pour autant que ce soit par un moyen honnête et acceptable, bien sûr
  • Envisagez la possibilité que vos suggestions peuvent être erronées ou inutiles
  • Annoncez clairement que votre conseil est uniquement un autre point de vue ou chemin possible à lui de décider si la proposition apporte un avantage
  • Restez humble, lors de vos échanges 
  • Traitez l’autre personne d’égal à égal, le savoir ne donne aucun droit supplémentaire
  • Si votre message manque le but, remettez-vous et votre manière de communiquer en question
  • Demandez à une personne proche, ce qu’elle pense de votre manière d’être et de communiquer. Cela suppose une acceptation à d’éventuelles critiques

Ajoutez-y les vôtres et mettez en pratique, c’est un très bon moyen pour progresser dans votre vie et également pour faire progresser les personnes de votre entourage.

Vous serez peut-être surpris du changement ! 

Vos commentaires et réflexions sont les bienvenus, et nous font également progresser.

Merci !

Poursuivez-vous le bon but ?

« Fixer un but, est le premier pas. De le faire de manière claire, et avec une notion de valeurs, est le second. »

Le but final et le but de performance

Nous devons faire la distinction entre le but final et celui de performance. Si le premier est souvent lié à un souhait, ou à un rêve, le second est le chemin qui va nous permettre d’augmenter la probabilité d’atteindre le but final.

Un exemple : Admettons que le but final est de participer au marathon de New York. Le but de performance pourrait être de courir pendant 12 mois minimum trente minutes par jour. 
Pensez cependant : Lorsqu’un but ne peut être atteint, il n’y a pas d’espoir. Et, en l’absence de défi, la motivation fait défaut. Il convient donc de trouver le juste milieu.

Il y a également d’autres paramètres qui devraient rentrer en ligne de compte, comme vous pouvez le constater dans la matrice ci-dessous.

Une solution possible

  1. Passez immédiatement à l’action avec un but qui est important pour vous
  2. Formulez le par écrit (la forme écrite est un soutien très puissant)
  3. Contrôlez à l’aide de la matrice, si votre but est SMART, PURE & CLEAR
  4. Faites les corrections, si nécessaire 

Keep it Simple, Stupid! (KISS)

Pensez à garder les choses le plus simple possible ! Car, comme le dit l’adage : pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

Vous avez des remarques ou d'autres idées, merci de laisser un commentaire.

L’art du « SLASH » ou multitâches

« Faire les choses une après l’autre est tombé aux oubliettes depuis belle lurette, pour le bien et le moins bien ! »

Et vous, le  « slash » comment vous l'abordez ?

Le slash (\) – utilisé, notamment, pour séparer des mots – fut mentionnée pour la première fois par l’auteure new-yorkaise Marci Alboher. Elle y faisait allusion aux personnes multitâches qui ne sont plus en mesure de répondre, en une phrase, à la question : quelle est votre activité professionnelle.

Est-ce votre cas ?

Si oui, vous avez certainement déjà constaté que ce genre d’activité est des plus intéressantes. Par contre, vu qu’il est compliqué d’aborder tout avec la même énergie, cela apporte également son lot de problèmes. Comme la surcharge de travail, ou encore la question récurrente ; comment assurer un revenu régulier

Afin de vous faciliter vos choix, et la gestion de vos divers projets, je vous conseille de les classifier. En se faisant, de manière organisée, vous allez rapidement reconnaître les projets à privilégier.

Être un « Slasher » est une qualité de plus en plus demandée par la société actuelle. Nous y sommes d’ailleurs tous confrontés à un moment ou l’autre de notre vie. 

Pour vous soutenir dans cette démarche, voici un outil intéressant (qui a une ressemblance avec la matrice de Dwight D. Eisenhower).

Une matrice à deux axes très utile

Faites le choix de leur contenu, par exemple

  • Axe-X (Coût) : Combien me coûte le projet ? – Axe-Y (Temps) : Combien de temps dois-je investir ?
    Lorsqu’il est question de coûts, il convient de tenir compte de tous les éléments liés. Par exemple, le nombre de personnes nécessaire pour réaliser le projet, l’énergie personnelle dont vous avez besoin, ou encore la pression psychologique que vous subissez.
  • Axe-X (But) : Comment le projet m’aide-t-il à atteindre : ma vision, ma mission et mes buts ? – Axe-Y (Instructif) : Comment le projet m’aide-t-il à acquérir un nouveau savoir ?

 

Dans quelles cases se trouvent vos projets ?

Si vous avez des projets autres que "A", ce qui sera certainement le cas, pensez à adapter vos priorités.

Testez, c’est le meilleur moyen d’éprouver la matrice, et laissez un commentaire sur vos résultats que je me réjouis d'avance de lire.